
Principal assistant du médecin, le logiciel médical est le garant de la bonne gestion administrative du cabinet. Son choix ne s’improvise donc pas, d’autant plus qu’il s’accompagne généralement d’un engagement dans le temps. Alors, quels critères prendre en compte pour bien choisir son logiciel médical ? Des fonctionnalités indispensables aux divers services optionnels disponibles, découvrez tous nos conseils pour faire le meilleur choix.
Les qualités indispensables d’un bon outil de gestion médicale
Comme tout outil de travail, le logiciel du médecin se doit principalement d’être fiable et fonctionnel pour pouvoir allier gain de temps et efficacité. Pour cela, il doit donc réunir certaines caractéristiques générales, telles que :- une interface intuitive permettant une navigation fluide et une saisie de données rapide ;
- une grande flexibilité afin d’être aisément utilisé sur tous les supports disponibles (ordinateur, smartphone, tablette) ;
- la possibilité d’être utilisé par plusieurs personnes (praticiens et secrétaires) sans compromettre le secret médical ;
- et des options de personnalisation en fonction de votre spécialité.
- la gestion des dossiers patients : fiche descriptive, antécédents médicaux, historique de consultations, traitements, etc. ;
- la gestion du planning des consultations ;
- l’aide à la prescription : rédaction des courriers et ordonnances, indications sur les posologies et les contre-indications, etc. ;
- la télétransmission des feuilles de soin électroniques ;
- l’enregistrement des résultats d’examens (biologie, imagerie, etc.) ;
- l’aide à la prévention : alertes pour les rappels de vaccins ou les examens à venir.
Choix du logiciel médical : autres critères à prendre en considération
Certains autres services appréciables peuvent être gérés par votre logiciel médical :
- la gestion de votre comptabilité basique ou bien la mise en relation avec votre logiciel de comptabilité ;
- l’accès direct aux services en ligne de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CMAM) : déclaration du médecin traitant (DMTi), historique des remboursements (HRi), etc.
- le suivi des indicateurs de performance pour la rémunération sur objectifs de santé publique (ROSP).